vendredi 5 octobre 2007

concours de strumpfettes en burkas mouillées...

y a  du nouveau au hammam
Je passais hier devant ma télé vers 21H50, l'oeil distrait...
Quelque chose d'inhabituel m'arrête...ce n'est pourtant qu'"envoyé spécial" mais pour une fois les "grands reporters" ne sont ni à la fête de la bière à Munich, ni dans les coulisses de la jetset. Ils semblent, pour une fois, être allés où ça craint...

Je reste en arrêt devant deux jeunes palestiniennes en burkas noires, et jolis yeux, interwievées sur une plage de Gaza, plage dont on nous dit qu'elle a été prise, à coups de roquettes, à la bourgeoisie du Fatah (expulsée, trucidée, embastillée nul ne sait).

Réinvestie aujourd'hui par le peuple des baigneurs du hamas, ladite plage offre le spectacle de barbus rasés, en slip, d'enfants à bouées et d'une multitude de baigneuses en burkas tantôt moulées, tantôt gonflées par les vagues...

On demande aux deux petites perruches noires, si ce n'est pas gênant de se baigner ainsi, voilées jusqu'aux yeux.

Réponse en coeur, l'oeil convaincu : "pas du tout, au contraire..." (toujours libidineux je traduis elles n'ont rien en dessous ?)... "et puis nous irons au paradis. Par contre les dévergondées vont souffrir..."

Je reprend mon chemin vers ma bière... attéré...Des strumpfs là aussi...des engins, des créatures, des denrées...

Inutile de chercher à comprendre...des denrées comme dans "la soupe aux choux".

Bon en plus, j'veux pas trop insister, mais si vous avez déjà vu un concours de burkas mouillées, j'vous jure que c'est plus bandant que le monokini. En plus, je le constate ici, pas très attentives aux éclats qui dépassent parfois à l'occasion d'un faux mouvement, ni aux angles morts de replis ténébreux, les fatmas...

Une fois ou deux doudou s'est baignée en pareo, ici. Mais doudou, elle dégage trop!...On a remballé assez vite... une vraie bombe qui a déplacé, l'oeil curieux, la moitié de la population masculine de cette plage paumée où nous étions ce dimanche là, les seuls mécréants...

"L'esprit de ces sauveurs était fait de lacunes; mais dans chaque lacune ils avaient placée leur folie, leur bouche-trou qu'ils ont appelé Dieu" Nietzsche Ainsi parlait Zarathoustra

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