mardi 17 juillet 2007

Ou l'on revoit le nucléaire. Trop tard, le mal est fait

Le séisme du Japon relance le débat sur le nucléaire ! Moi, je reste toujours ébahi devant ces réveils soudains d'acuité visuelle pour des risques dont la conscience ne devraient jamais nous avoir quittés tant ils sont évidents et d'appréhension immédiate, puissante, imparable...
Cette propension à ne pas voir l'évidence dés que sa négation autorise un peu de confort est une tare d'homme petit, d'homo confortabilus, de minus. Hélas le confort des petits est une porte d'entrée des politiques. Faut-dire que ceux qui nous dirigent, qui sont censés savoir et qui effectivement savent, sont aussi les plus mauvais conseilleurs qui soient, les plus arrivistes, les moins honnêtes, les plus intéressés d'entre nous même lorsque c'est par leur gloire personnelle (de Gaulle).
Sans les conseils de ne pas voir des gouvernants successifs même les plus minus d'entre nous n'aurait pas osé ne pas voir, n'aurait pas osé choisir une forme d'énergie potentiellement fatale en cas de séisme, engageant ainsi l'avenir pour des siècles .

"Il n'y a pas de plus dure calamité, dans toutes les destinées humaines, que lorsque les puissants de la terre ne sont pas en même temps les premiers hommes. C'est alors que tout devient faux et monstrueux, que tout va de travers."

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